Durant l’année 2010, huit messages nous ont paru essentiels pour la pratique. La colchicine à faible dose a sa place dans le traitement de la goutte. Aucun traitement efficace ne peut être conseillé pour le traitement des crampes musculaires. La prescription d’une collerette souple est utile dans la radiculopathie cervicale. Une dose unique d’azithromycine est envisageable comme traitement de troisième ligne lors de syphilis. La prévention des fractures chez la femme âgée ne devrait pas se faire à l’aide de hautes doses de vitamine D en raison du risque de chute. Le port de lunettes à double foyer peut être associé à un risque de chute. Un score clinique est disponible pour aider au diagnostic de la douleur thoracique. Le NT-proBNP est d’une utilité limitée dans le suivi des patients avec insuffisance cardiaque.
Cet article propose une approche globale de la santé des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, et transgenres (LGBT), où respect des singularités et non-jugement occupent une position centrale. Il invite à dépasser une vision centrée sur les risques liés au VIH. Pour qui n’a pas connu de questionnement en lien avec son orientation sexuelle ou son identité de genre, il est difficile de concevoir comment la découverte d’une caractéristique identitaire pendant l’enfance peut se transformer sous le regard des autres en un fardeau souvent invisible mais fréquemment associé avec une morbidité émotionnelle et médicale considérable. Cet article pose la question suivante : combien de personnes LGBT ressortent chaque semaine d’une consultation médicale sans avoir eu l’opportunité de bénéficier d’une écoute, d’un soutien et de soins adaptés ?
Depuis 2007, le nombre de personnes vivant dans les villes dépasse celui du milieu rural. Ainsi, les villes et leurs organisations ont une influence majeure sur tous les domaines de la vie des humains, en particulier leur santé. Cette influence peut être génératrice d’inégalités, de souffrances et de maladies, mais également d’opportunités de santé et de bien-être.
Cet article introduit le concept «urban health» ou «santé urbaine», particulièrement sous l’angle de la médecine de premier recours et présente des solutions qui englobent un vaste champ (politique, urbanisme, inégalités sociales, éducation). L’amélioration de la santé en milieu urbain passe par une collaboration de la médecine avec des partenaires non médicaux, comme moteur d’un développement qui (re)structure les villes et favorise la santé de tous.
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